Il y a bien longtemps que je n'ai pas écrit. Il y a eu la fin de la session, puis il y a eu le temps des Fêtes. Entre temps, il y a eu le décès d'un ami très cher. Je ne savais plus quoi écrire. Les sujets qui me venaient à l'esprit repartaient comme ils étaient venus, sans me laisser trop d'inspiration au passage. A la suite du décès de Bruno (Djoubi, dans le monde virtuel), tous mes sujets me paraissaient futiles. On dirait que je n'étais pas capable d'accepter que celui qui a inspiré la création de ce blogue ne pourra plus jamais écrire d'entrée. Je ne savais plus quoi écrire. Je ne le sais pas encore tout à fait, mais je retrouverai bientôt le fil de mes idées. Ça s'en vient.
On est samedi soir. Le Canadien vient de remporter une belle victoire. Je ne regarde jamais le hockey, mais en regardant la fin de la dernière période, ce soir, j'ai cru en l'espoir. Les joueurs se sont démenés et ont gagné, à la toute dernière minute. Ça peut aussi m'arriver. Si je travaille fort dans les coins, si je ne lâche pas, si je patine. Je peux vaincre mes adversaires, qui sont surtout intérieurs. Je vous en reparlerai une autre fois.
Je vis dans un pays qui n'est pas en guerre. Je n'ai pas froid, dans ma maison bien isolée, même s'il fait -25C. dehors. Demain, j'irai peut-être patiner sur le Canal Rideau et ce sera même la deuxième fois de la saison, puisque j'ai eu la chance de faire glisser mes patins sur celui-ci le 1ier janvier. Si je n'y vais pas, c'est que j'aurai décidé de lire cette délicieuse brique qu'est le nouveau Wally Lamb " The moment I first believed". Lundi, j'irai faire la queue au Bureau des passeports et j'aurai la chance de me plonger dans cet excellent roman, écrit par le meilleur auteur de notre temps (à mon humble avis).
Voilà ce qui me traverse l'esprit, en ce moment. Voilà pourquoi je me sens bien ce soir, en renouant avec mon blogues et en écoutant les Fidèles insomnies d'Alain Lefèvre.
J'écrirai plus longuement bientôt. Je vous le promets.
On est samedi soir. Le Canadien vient de remporter une belle victoire. Je ne regarde jamais le hockey, mais en regardant la fin de la dernière période, ce soir, j'ai cru en l'espoir. Les joueurs se sont démenés et ont gagné, à la toute dernière minute. Ça peut aussi m'arriver. Si je travaille fort dans les coins, si je ne lâche pas, si je patine. Je peux vaincre mes adversaires, qui sont surtout intérieurs. Je vous en reparlerai une autre fois.
Je vis dans un pays qui n'est pas en guerre. Je n'ai pas froid, dans ma maison bien isolée, même s'il fait -25C. dehors. Demain, j'irai peut-être patiner sur le Canal Rideau et ce sera même la deuxième fois de la saison, puisque j'ai eu la chance de faire glisser mes patins sur celui-ci le 1ier janvier. Si je n'y vais pas, c'est que j'aurai décidé de lire cette délicieuse brique qu'est le nouveau Wally Lamb " The moment I first believed". Lundi, j'irai faire la queue au Bureau des passeports et j'aurai la chance de me plonger dans cet excellent roman, écrit par le meilleur auteur de notre temps (à mon humble avis).
Voilà ce qui me traverse l'esprit, en ce moment. Voilà pourquoi je me sens bien ce soir, en renouant avec mon blogues et en écoutant les Fidèles insomnies d'Alain Lefèvre.
J'écrirai plus longuement bientôt. Je vous le promets.
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