Dans la vie d'une procrastinatrice professionnelle, il y a toujours des besoins de nouveaux divertissements qui se font sentir...
Dans ma vie de "remetteuse à demain de ce qu'on pourrait très bien (et sans doute mieux) faire aujourd'hui", il y a d'abord eu la télé (Ah, vive The Price is Right, General Hospital, Terre humaine, Family Ties etc, etc, etc...), puis la musique et la lecture et finalement le merveilleux monde d'Internet. Dans celui-ci, j'ai d'abord surfé, puis j'ai courriellé, puis j'ai bloggué. Toutes ces activités étaient toujours bien efficaces pour ne pas faire ce qui m'angoisse, mais elles commençaient à s'user. Oui, c'est bien beau de regarder compulsivement le site de People's pour voir s'il n'y a pas de nouveaux potins sur Britney ou Brangelina, ou encore de lire un énième blogue sur les chances de Sanjaya de remporter la finale d'American Idol, mais le tout a ses limites et les habitudes répétitives en viennent à perdre leurs vertues thérapeutiques...
Voilà que par la magie du net, je suis tombée sur Facebook, le méga journal des finissants, où les gens se rencontrent, non pas pour se cruiser (enfin, pas moi), mais bien pour se retrouver. C'est une rencontre des anciens, sans avoir à s'acheter une nouvelle robe et sans le status anxiety réservé à de tels événements (et si je n'étais pas rendue assez loin dans la vie????). Rien de cela, juste des gens qui veulent se joindre à ta liste d'amis.
A date, il y a 61 personnes qui se disent mes amis. Pour la plupart, ce sont des anciens étudiants, je m'en sens plutôt flattée. Je n'ai pas eu la chance d'être populaire, à l'école secondaire, et voilà que je me reprends, virtuellement. Ça compense, un peu, et ça fait passer les angoisses de fin de session.
Bien sûr, je dois faire attention et ne pas devenir accro. Je ne veux pas non plus dire à Facebook où je suis à toutes les 10 minutes. J'aime juste cela revoir des figures familières et me dire que même si nous ne nous voyons plus à chaque jour, nous avons déjà existé et nous existons encore ensemble, par la magie du Net, mon agent procastinateur préféré.
Là je vais y aller, j'ai des lectures à faire sur la littérature classique, en vue de mon examen de jeudi... Avant, un petit détour par Facebook? Nah... demain matin, j'aurai peut-être encore de nouveaux amis. Vous, peut-être?
Dans ma vie de "remetteuse à demain de ce qu'on pourrait très bien (et sans doute mieux) faire aujourd'hui", il y a d'abord eu la télé (Ah, vive The Price is Right, General Hospital, Terre humaine, Family Ties etc, etc, etc...), puis la musique et la lecture et finalement le merveilleux monde d'Internet. Dans celui-ci, j'ai d'abord surfé, puis j'ai courriellé, puis j'ai bloggué. Toutes ces activités étaient toujours bien efficaces pour ne pas faire ce qui m'angoisse, mais elles commençaient à s'user. Oui, c'est bien beau de regarder compulsivement le site de People's pour voir s'il n'y a pas de nouveaux potins sur Britney ou Brangelina, ou encore de lire un énième blogue sur les chances de Sanjaya de remporter la finale d'American Idol, mais le tout a ses limites et les habitudes répétitives en viennent à perdre leurs vertues thérapeutiques...
Voilà que par la magie du net, je suis tombée sur Facebook, le méga journal des finissants, où les gens se rencontrent, non pas pour se cruiser (enfin, pas moi), mais bien pour se retrouver. C'est une rencontre des anciens, sans avoir à s'acheter une nouvelle robe et sans le status anxiety réservé à de tels événements (et si je n'étais pas rendue assez loin dans la vie????). Rien de cela, juste des gens qui veulent se joindre à ta liste d'amis.
A date, il y a 61 personnes qui se disent mes amis. Pour la plupart, ce sont des anciens étudiants, je m'en sens plutôt flattée. Je n'ai pas eu la chance d'être populaire, à l'école secondaire, et voilà que je me reprends, virtuellement. Ça compense, un peu, et ça fait passer les angoisses de fin de session.
Bien sûr, je dois faire attention et ne pas devenir accro. Je ne veux pas non plus dire à Facebook où je suis à toutes les 10 minutes. J'aime juste cela revoir des figures familières et me dire que même si nous ne nous voyons plus à chaque jour, nous avons déjà existé et nous existons encore ensemble, par la magie du Net, mon agent procastinateur préféré.
Là je vais y aller, j'ai des lectures à faire sur la littérature classique, en vue de mon examen de jeudi... Avant, un petit détour par Facebook? Nah... demain matin, j'aurai peut-être encore de nouveaux amis. Vous, peut-être?
Commentaires
Anyway, ce sera de ta faute si je perd ma job.
Merci pour la belle découverte!
Edith