Suis-je la seule, en cette fin d'hiver qui refroidit l'âme, à ne souhaiter que de prendre un daiquiri servi sur un bar flottant, dans un all inclusive situé à quelque part entre la Jamaïque et la Guadeloupe? Suis-je la seule à vouloir m'envoler là où le ciel est bleu et où le mot farniente fait partie du vocabulaire usuel des vacanciers qui ne font que respirer lentement et lire des revues pas trop intelligentes?
A voir les mines patibulaires d'à peu près chaque personne que je rencontre ces jours-ci, je crois que je ne suis pas la seule à souhaiter se pousser vers le sable et les chaises longues donnant sur l'eau couleur d'azur... Vous, vous allez bien? Peut-être fais-je de la projection...
J'ai choisi de travailler dans le monde de l'éducation mais je ne suis pas certaine si je m'adapte bien au mode de vie et à l'horaire scolaires. Oui, j'apprécie mes semaines de relâche et mes longs congés estivaux mais parfois (souvent même) j'aimerais bien partir un 15 mars ou un 22 novembre, par exemple. Je ne lâcherai pas ma job pour ça mais je me dis qu'un jour, je changerai de beat et je voyagerai hors-saison.
En attendant, je me paye les fuites que je peux. Un bon livre (comme Trois jours chez ma mère,justement sur la fuite, que je viens de commencer, wow!), une marche dans le Vieux-Québec, une musique envoûtante (comme ces belles mélodies du nouveau Ariane Moffatt ou comme mon éternelle Joni Mitchell) font la job, partiellement, du moins. Rêver de voyager aide aussi.
En attendant, j'ai aussi un cours (sur le désir sexuel!) à préparer pour demain matin. C'est bien beau de voyager dans ma tête mais il y a aussi la réalité qui est là et qui m'attend, beaucoup moins épeurante que je ne l'anticipe, sûrement.
Oui, je suis bien bonne pour me raisonner mais si quelqu'un m'offrait de partir, là tout de suite et si j'avais un peu d'argent, je pense que je serais pas mal tentée de m'envoler afin de me retrouver là où la douce brise marine viendrait pousser ailleurs mes soucis de fin d'hiver.
Bonne fin d'hiver à tous et vivement le printemps et ses transformations, lundi!
A voir les mines patibulaires d'à peu près chaque personne que je rencontre ces jours-ci, je crois que je ne suis pas la seule à souhaiter se pousser vers le sable et les chaises longues donnant sur l'eau couleur d'azur... Vous, vous allez bien? Peut-être fais-je de la projection...
J'ai choisi de travailler dans le monde de l'éducation mais je ne suis pas certaine si je m'adapte bien au mode de vie et à l'horaire scolaires. Oui, j'apprécie mes semaines de relâche et mes longs congés estivaux mais parfois (souvent même) j'aimerais bien partir un 15 mars ou un 22 novembre, par exemple. Je ne lâcherai pas ma job pour ça mais je me dis qu'un jour, je changerai de beat et je voyagerai hors-saison.
En attendant, je me paye les fuites que je peux. Un bon livre (comme Trois jours chez ma mère,justement sur la fuite, que je viens de commencer, wow!), une marche dans le Vieux-Québec, une musique envoûtante (comme ces belles mélodies du nouveau Ariane Moffatt ou comme mon éternelle Joni Mitchell) font la job, partiellement, du moins. Rêver de voyager aide aussi.
En attendant, j'ai aussi un cours (sur le désir sexuel!) à préparer pour demain matin. C'est bien beau de voyager dans ma tête mais il y a aussi la réalité qui est là et qui m'attend, beaucoup moins épeurante que je ne l'anticipe, sûrement.
Oui, je suis bien bonne pour me raisonner mais si quelqu'un m'offrait de partir, là tout de suite et si j'avais un peu d'argent, je pense que je serais pas mal tentée de m'envoler afin de me retrouver là où la douce brise marine viendrait pousser ailleurs mes soucis de fin d'hiver.
Bonne fin d'hiver à tous et vivement le printemps et ses transformations, lundi!
Commentaires
C'est quoi ce livre, "Trois jours chez ma mère"? C'est bon?
Tu me fais tellement rire!
Quant à moi, je commence à manquer d'inspiration. Je ne sais plus avec quel gilet porter mon éternel pantalon noir. J'attache mes cheveux et j'en peux pu d'avoir la peau sèche. HELP!