Pour célébrer la fin de l'hiver voici le texte d'une des plus belles chansons que j'aie entendues depuis lontemps... Elle se retrouve sur le plus récent disque de Stacey Kent, une chanteuse jazz qui fait de très bons "covers" de vieux standards accompagnée de son chum Jim Tomlinson qui est un excellent saxophoniste... Chez moi, ça joue en boucle depuis deux semaines, un bon remède pour contrer le blues de l'hiver qui ne veut pas finir.
Mathieu trouve qu'elle me représente bien et je crois qu'il a raison...
Jardin d'hiver
Je voudrais du soleil vert
Des dentelles et des théières
Des photos de bord de mer
Dans mon jardin d'hiver
Je voudrais de la lumière
Comme en Nouvelle Angleterre
Je veux changer d'atmosphère
Dans mon jardin d'hiver
Ma robe à fleur
Sous la pluie de novembre
Tes mains qui courent
Je n'en peux plus de t'attendre
Les années passent
Qu'il est loin l'âge tendre
Nul ne peut nous entendre
Je voudrais du Fred Astaire
Revoir un Latécoère (quelqu'un sait ce qu'est un Latécoère???)
Je voudrais toujours te plaire
Dans mon jardin d'hiver
Je veux déjeuner par terre
Comme au long des golfes clairs
T'embrasser les yeux ouverts
Dans mon jardin d'hiver
Ma robe à fleur
Sous la pluie de novembre
Tes mains qui courent
Je n'en peux plus de t'attendre
Les années passent
Qu'il est loin l'âge tendre
Nul ne peut nous entendre
Voici, en prime, une phrase dénichée dans le numéro d'avril du magazine O, portant sur la beauté (intérieure et extérieure)
Dieu sait que je suis loin, en ce moment, de cet état d'esprit mais le printemps, c'est un temps de renouveau, non?
Joyeux équinoxe à tous et bon renouveau à ceux qui le désirent!
Mathieu trouve qu'elle me représente bien et je crois qu'il a raison...
Jardin d'hiver
Je voudrais du soleil vert
Des dentelles et des théières
Des photos de bord de mer
Dans mon jardin d'hiver
Je voudrais de la lumière
Comme en Nouvelle Angleterre
Je veux changer d'atmosphère
Dans mon jardin d'hiver
Ma robe à fleur
Sous la pluie de novembre
Tes mains qui courent
Je n'en peux plus de t'attendre
Les années passent
Qu'il est loin l'âge tendre
Nul ne peut nous entendre
Je voudrais du Fred Astaire
Revoir un Latécoère (quelqu'un sait ce qu'est un Latécoère???)
Je voudrais toujours te plaire
Dans mon jardin d'hiver
Je veux déjeuner par terre
Comme au long des golfes clairs
T'embrasser les yeux ouverts
Dans mon jardin d'hiver
Ma robe à fleur
Sous la pluie de novembre
Tes mains qui courent
Je n'en peux plus de t'attendre
Les années passent
Qu'il est loin l'âge tendre
Nul ne peut nous entendre
Voici, en prime, une phrase dénichée dans le numéro d'avril du magazine O, portant sur la beauté (intérieure et extérieure)
"We want the spring to come ant the winter to pass. We want whoever to call or not call, a letter, a kiss. We want more and more and there more of it. But there are moments, walking, when I catch a glimpse of myself in the window glass, say, the window of the corner video store, and I'm gripped by a cherishing so deep for my own blowing hair, chapped face, and unbuttoned coat that I'm speechless: I am living..." Marie Howe
Dieu sait que je suis loin, en ce moment, de cet état d'esprit mais le printemps, c'est un temps de renouveau, non?
Joyeux équinoxe à tous et bon renouveau à ceux qui le désirent!
Commentaires
Je n'ai pas beaucoup le temps de lire ton blog aujourd'hui (trop de boulot a faire), mais je reviendrai.
Bien sûr, j'ai entendu énormément parlé du frère Miguel mais je ne l'ai jamais rencontré. Il est aussi très célèbre au Québec!
Tu es toujours la bienvenue sur mon blogue et je vais assurément continuer à lire le tien!