Le jeudi, je n'enseigne pas, mais je suis quand même disponible pour recevoir les étudiants. C'est le début de l'année et il n'y a pas encore de tragédies conjugales ni de névroses dûes à des Complexes d'Oedipe mal résolus. Je mène donc, momentanément, une "Vie de bureau".
Vous vous rappelez de ce délectable sketch de RBO: "C'est qui qui a pas changé le rouleau de papier de toilette, c'est qui (dit avec une petite voix stridente semblable à celle de madame Brossard de Brossard, avec 10 ans de moins)?" Ou, peut-être, avez-vous eu la chance de voir cette délectable série anglaise The Office (dont je parlerai plus longuement dans une prochaine entrée) qui démontre finement la grisaille et la joie de posséder des voisins de cubicules...
Aujourd'hui, je mène ce genre de vie.
J'ai pris mon café dans la machine qui dispense du "Café Brossard" et j'ai rempli mon verre à la machine d'eau très froide du corridor. C'est pour vous dire, j'ai même mangé un sandwich au pain blanc au poulet avec de la mayo en buvant un jus de légumes. Il ne me manquait qu'un napperon orné de pommes ou de pères Noël et une broche faite en forme de chat et je me métamorphosais en prof de 5ième année ou en secrétaire dans une fabrique de paniers-cadeaux contenant des chandelles, du pot-pourri et des sachets de tisane imbuvable!
Donc, vie de bureau.
J'ai classé des papiers dans des chemises bien identifiées; j'ai troué des feuilles; j'ai regardé très loin, jusqu'à la fin d'octobre, pour voir comment mon automne se profile; j'ai organisé mon système de rendez-vous; j'ai mis de l'ordre dans mes notes de cours et, enfin, j'ai RESPIRÉ, ce que je n'avais pas beaucoup fait au travail depuis le début de la session. Le mois de septembre a le don de m'enrubanner dans un monde d'obligations et d'échéanciers. Aujourd'hui, j'ai sorti la tête de l'eau pour mieux replonger, demain, dans cette eau qui m'apparaît maintenant beaucoup plus calme.
Je ne serais pas capable de vivre une vie de bureau 7 jours sur 7. Il me faut enseigner, il me faut partir en voyage avec les jeunes, il me faut bouger. Mais une fois de temps en temps, madame vie de bureau peut bien venir faire son tour, question de mettre de l'ordre dans les projets que la bohémienne en moi se plaît à inventer.
Et vous, subissez-vous, adorez-vous ou souhaiteriez-vous vivre une vie de bureau?
Vous vous rappelez de ce délectable sketch de RBO: "C'est qui qui a pas changé le rouleau de papier de toilette, c'est qui (dit avec une petite voix stridente semblable à celle de madame Brossard de Brossard, avec 10 ans de moins)?" Ou, peut-être, avez-vous eu la chance de voir cette délectable série anglaise The Office (dont je parlerai plus longuement dans une prochaine entrée) qui démontre finement la grisaille et la joie de posséder des voisins de cubicules...
Aujourd'hui, je mène ce genre de vie.
J'ai pris mon café dans la machine qui dispense du "Café Brossard" et j'ai rempli mon verre à la machine d'eau très froide du corridor. C'est pour vous dire, j'ai même mangé un sandwich au pain blanc au poulet avec de la mayo en buvant un jus de légumes. Il ne me manquait qu'un napperon orné de pommes ou de pères Noël et une broche faite en forme de chat et je me métamorphosais en prof de 5ième année ou en secrétaire dans une fabrique de paniers-cadeaux contenant des chandelles, du pot-pourri et des sachets de tisane imbuvable!
Donc, vie de bureau.
J'ai classé des papiers dans des chemises bien identifiées; j'ai troué des feuilles; j'ai regardé très loin, jusqu'à la fin d'octobre, pour voir comment mon automne se profile; j'ai organisé mon système de rendez-vous; j'ai mis de l'ordre dans mes notes de cours et, enfin, j'ai RESPIRÉ, ce que je n'avais pas beaucoup fait au travail depuis le début de la session. Le mois de septembre a le don de m'enrubanner dans un monde d'obligations et d'échéanciers. Aujourd'hui, j'ai sorti la tête de l'eau pour mieux replonger, demain, dans cette eau qui m'apparaît maintenant beaucoup plus calme.
Je ne serais pas capable de vivre une vie de bureau 7 jours sur 7. Il me faut enseigner, il me faut partir en voyage avec les jeunes, il me faut bouger. Mais une fois de temps en temps, madame vie de bureau peut bien venir faire son tour, question de mettre de l'ordre dans les projets que la bohémienne en moi se plaît à inventer.
Et vous, subissez-vous, adorez-vous ou souhaiteriez-vous vivre une vie de bureau?
Commentaires
J'ai mis à jour mon blogue à ce sujet!
Alex :)